Suite de cette séance du 21 mai des formations de l’inconscient
Après avoir tracé entre les deux demandes, demande signifiée ou de satisfaction du besoin et la demande d’amour ou demande signifiante, se dessine ce champ du désir
Suite de cette séance du 21 mai des formations de l’inconscient
Après avoir tracé entre les deux demandes, demande signifiée ou de satisfaction du besoin et la demande d’amour ou demande signifiante, se dessine ce champ du désir
Une lecture de la séance du 14 mai 1958 des « Formations de l’inconscient »
Lacan a décrit le graphe à deux étages, le graphe dit complet, dans le paragraphe précédent et maintenant il reprend le graphe du désir de l’hystérique avant de pouvoir aborder le graphe de l’obsessionnel. Il prend appui pour le construire sur l’un des rêves rapporté par Freud dans L’interprétation des rêves, le rêve dit des bougies d’Apollon, puis reprend une fois de plus, l’histoire clinique de Dora.
J’ai relu pour préciser ce qu’est « lalangue » comme un mot forgé dans la bouche de Lacan trois textes fort coton : Radiophonie, l’Etourdit et Télévision. Je me suis tout simplement régalée.
Nous revenons après ce long détour de Lacan sur les identifications et sur la façon de les inscrire sur le graphe, à la question de l’importance de l’aspect homosexuel du transfert à partir du texte de Bouvet. Il va le centrer sur le point du fantasme.
Les élaborations théoriques de Freud sur la structure de la névrose obsessionnelle en 1910, au temps de l’Homme aux rats.
Nous abordons donc la partie des « Considérations théoriques » portant sur « quelques caractères généraux des obsessions ». On passe donc de la clinique, celle de la description des symptômes d’une névrose obsessionnelle singulière, celle d’Ernst Lanzer, à un travail d’élaboration sur les mécanismes propres à cette névrose, sur sa structure.
Une relecture de Dora avec l’aide du schéma optique Je vais tenter une relecture d’ » Intervention sur le transfert » avec le schéma optique pour démontrer comment Dora, à partir de ses identifications viriles, aurait pu réussir, avec l’aide de Freud, du seul fait de son interprétation, a réaliser une identification

Quand les termes deviennent trop usés à force d’avoir été répétés et qu’ils se vident de leur sens, que pouvons nous faire de chacun d’eux – la « passe », le « désêtre », l’analyste « comme objet a », la « traversée du fantasme » et la liste ne s’arrête pas là – pour leur rendre la fraîcheur d’une énonciation ? Si ce qui caractérise le dogmatisme c’est bien le fait que les énonciations d’un analyste sont devenues pour d’autres de simples énoncés, corpus théorique, savoir constitué, savoir asservi, maîtrisé qui donne l’illusion de pouvoir être enseigné, comment y échapper ?
Il est quand même curieux que Freud achève ce grand texte d’étude sur la névrose obsessionnelle dans les cinq psychanalyses, sur cette évocation des trois personnalités d’Ernst étant donné la difficulté de définir ce terme.