Nous en sommes page 122 du texte du Petit-Hans. Nous avons repéré que Hans a en quelque sorte entériné l’interprétation de Freud. Il reconnaît que son cheval d’angoisse et son père ne font qu’un.
Il le reconnaît en effet par cette plaisanterie « Papa, reste ! Ne t’en va pas au galop ! »
Freud y apporte ce commentaire « Nous savons que cette partie de l’angoisse de Hans a deux composantes : la peur du père et la peur pour le père. La première dérive de son hostilité contre son père, la seconde du conflit de la tendresse – ici exagérée par réaction – avec l’hostilité.