Dans le chapitre intitulé “Le travail du rêve”, une partie A est intitulée “Le travail de condensation”, et une partie B “ Le travail de déplacement”. Alors que dans cette partie A, Freud décrivait de nombreux nouveaux rêves où cette condensation était mise en oeuvre, pour cette partie B, Freud se contente de reprendre plusieurs rêves déjà analysés précédemment à savoir celui de la monographie botanique, Le rêve de Sapho d’un analysant de Freud, le rêve des hannetons, Le rêve de l’oncle Joseph et enfin le rêve de l’injection d’Irma.
Puis avec chacun de ces rêves il précise ce qu’est la fonction de ce déplacement dans la formation du rêve. Elle rend en quelque sorte le rêve anodin ce qui lui permet de franchir plus aisément l’obstacle de la censure.
Dans la plupart des rêves, les pensées latentes du rêve ne figurent pas explicitement dans son contenu manifeste. Elles n’y sont représentées que sous la forme d’allusions.